L’Humeur des paysages
Par Dyane Raymond et Charlie McKenzie Ne rien prendre pour acquis. Ainsi pourquoi le plus beau voyage ne se ferait-il pas à bord d’un bateau au milieu de la forêt ? Je ne parle pas…
Par Dyane Raymond et Charlie McKenzie Ne rien prendre pour acquis. Ainsi pourquoi le plus beau voyage ne se ferait-il pas à bord d’un bateau au milieu de la forêt ? Je ne parle pas…
Par Dyane Raymond et Charlie McKenzie Nous nous définissons, entre autres, par nos blessures. Ce sont elles qui façonnent les êtres que nous sommes. Elles qui façonnent la bonté dont nous sommes capables. Elles qui…
Par Dyane Raymond et Charlie McKenzie « Ô temps ! Suspends ton vol… », poétisait Lamartine, puisque c’était là son métier. Goûter ce temps présent même glacé, même enneigé, même figé dans une crispation hivernale. Regarder ce…
Par Dyane Raymond et Charlie McKenzie À la fin des années 1990, j’ai vu un film intitulé en français « Antonia et ses filles ». Et parmi les scènes qui m’avaient le plus interpelée, entre…
Par Dyane Raymond et Charlie McKenzie Les faits et gestes amoureux sont si simples ; pas de quoi en faire une chronique. Mais vous qui me connaissez, savez que je n’en suis pas à une…
Par Dyane Raymond et Charlie McKenzie En prenant mes marches sur la route menant au village pendant les vacances des fêtes, je tournais la tête vers le rang 4, vers le lointain, vers l’éternité, extrapolais-je.…
Par Dyane Raymond et Charlie McKenzie « Sous les pavés, la plage », clamait la révolte de mai 68 à Paris. Pour la jeunesse de ces années-là, c’était le temps des idéaux, des révolutions, des…
Par Dyane Raymond et Charlie McKenzie Étrange période, mêlée de malveillance bête et méchante et d’amour authentique et partagé. Par exemple, le co-auteur de cette chronique, mon ami Charlie, si bien nommé en ces temps…
J’ai perdu une dent et retrouvé une amie. Ça n’a apparemment aucun lien. Ça n’a effectivement aucun lien. Mais il y en a quand même un. Que je vais créer. Pour que ça devienne une…
« Quand j’aime une fois, j’aime pour toujours », chante Richard Desjardins. Les mots de ce refrain me semblaient à la fois un peu surannés et clichés lorsque je les entendis les premières fois. Après,…
Ils s’avancent par bandes. Ils sont huit. Parfois en groupe de quatre. Parfois tous ensemble. Je parle des dindons sauvages qui ont vidé nos argousiers devant la maison de leurs baies orangées et grappillent maintenant…
La partie sera chaude Qu’ont en commun Noël et le scrabble. À première vue, rien. Hier, j’écoutais des collègues se rappeler des Noëls de leur enfance et des traditions qu’ils perpétuent avec leur propre famille…