L’agriculture et le monde municipal s’unissent pour l’environnement

La MRC du Granit est fière d’annoncer la mise en place de la collecte des plastiques agricoles dans toutes les municipalités de son territoire. En juillet 2018, une première collecte était implantée à travers dix municipalités alors que la collecte bimensuelle se déroulait à l’aide de bacs roulants identifiés. Dans les prochains jours, chaque producteur recevra un conteneur lui permettant de disposer de cette matière, qui prendra le chemin de la revalorisation grâce à l’implantation d’une collecte mensuelle.

« Nous tenons à remercier les producteurs qui sont avec nous depuis le début de cette collecte. […] Notre volonté était d’étendre cette collecte au plus grand nombre d’entreprises agricoles possible, dans toutes les municipalités de la MRC, et c’est maintenant devenu une réalité. Nous en sommes très fiers d’autant plus que la collecte n’existe que depuis l’an dernier », a déclaré la préfète de la MRC du Granit, Madame Marielle Fecteau.

Pour faciliter l’implantation de cette collecte améliorée, les producteurs ont été rencontrés individuellement ou en groupe pour être saisis de la nouvelle méthode de fonctionnement et discuter de leurs besoins quant au volume de plastiques générés. « Toute cette opération n’aurait pu voir le jour sans la collaboration des agriculteurs, de Services Sanitaires Denis Fortier et de SLM Récupération, ce dernier s’affairant à la revalorisation de la ressource. Il est aussi important de rappeler le rôle que les instances locales de l’UPA ont joué en tant que facilitatrices. Nous avons confiance que cette collecte connaîtra un grand succès », a affirmé la directrice générale de la MRC du Granit, Madame Sonia Cloutier.

La MRC du Granit démontre une fois de plus que tous les gestes, peu importe la sphère de développement, font une différence et qu’il est possible d’être des acteurs de changements lorsque nous sommes unis par un même objectif. Depuis juillet 2018, plus de 55 tonnes de plastiques ont pris le chemin de la revalorisation.

Source : Sonia Cloutier